Publié le 05/12/2018
Bernard Bourrier, président du Conseil National des Professions Automobiles, s’exprime au sujet des professionnels du secteur non concertés à propos des nouvelles réformes du contrôle technique.
Ce matin, Bernard Bourrier a parlé au nom des professionnels du contrôle technique pour exprimer leur mécontentement quant à la non concertation au sujet des nouvelles réformes pollution.
En effet, les professionnels du contrôle technique ont dû investir entre 1000 et 8000 euros afin de s’adapter aux nouvelles réformes. Cela représente un investissement conséquent pour ces TPE. Ils se sont sentis mis devant le fait accompli du au manque de concertation.
Il reproche également à l’état d’avoir laissé la population assimiler le contrôle technique à une taxe. En aucun cas le contrôle technique est taxé. Il a un rôle de santé publique en assurant la sécurité routière et environnementale, et c’est pourquoi il n’est pas en accord avec le report des 6 mois. En effet, pour toutes les personnes qui fraudent et qui retirent le Filtre A Particule, ils devraient être sanctionnés sans attendre 6 mois. Le contrôle technique doit être pris plus au sérieux.